C’est une découverte scientifique qui devrait intéresser de nombreux pêcheurs, tant elle semble confirmer le sens commun. Des chercheurs de l’Institut Pasteur ont en effet mis en évidence la présence, chez de nombreuses femmes, d’une carence en une protéine d’un certain type, ou plutôt d’une combinaison de protéine à laquelle ils ont donné le nom de « capital confiance ». Le Pr. Astigne nous explique : « C’est en fait le déficit de ce complexe de protéine qui met en évidence son existence. Pour au moins 90% de la population, les valeurs sont normales, ce qui explique qu’on ne l’ait pas détecté pour plus tôt. »
Or, le professeur ne va pas sans ajouter que cet apport protéinique fait particulièrement défaut… aux épouses de pêcheurs ! « En effet, reprend le professeur, il semblerait que cette partie de la population soit beaucoup plus exigeante. Il faut sans cesse alimenter en capital confiance ; sans cela, le sujet devient morose, et cherche à combler ce manque en s’en prenant sans raison à son compagnon. » Ce qui peut conduire à des violences conjugales. 
Alors comment ré-hausser le niveau en « capital confiance » de ces femmes ? Selon les premières études, rien de tel qu’un dîner aux chandelles. « Le petit plateau-télé à deux devant une série américaine marche aussi très bien, à condition de répéter la prise au moins deux fois par semaine », commente le savant. Mais existe-il une panacée ? Réponse du professeur, encore sous la surprise de la découverte : « On s’attendait à un truc à la con, comme un bouquet de fleur, mais à notre grande surprise il semblerait que ramasser des petits cailloux blancs sur la plage équivaut à huit cents roses blanches ! Avec ce traitement de seulement une demi-journée, les épouses de pêcheurs peuvent ainsi laisser partir leur mari pendant une bonne semaine à la pêche sans ressentir la mal-être et la colère intérieure caractéristiques du déficit en capital confiance. »
Vous savez donc, messieurs, ce qu’il vous reste à faire cet été !
Une « information » de l’Agorafishing.